L'HALTEROPHYL

L'HALTEROPHYL

RABASH

L'HOMME QUI DESIRE SE SPECIALISER

EN HALTEROPHYLIE,

CHAQUE  JOUR LUI EST DONNE

A LEVER UN POID PLUS LOURD.

LE TRAVAIL SPIRITUEL EST SEMBLABLE A CELA,

CAR CHAQUE JOUR LUI EST DONNE A LEVER

UNE PARTIE MAUVAISE PLUS GRANDE,

ET A CAUSE DE CELA,
L'HOMME NE VOIT PAS

QU'IL PROGRESSE DANS SON TRAVAIL,

MAIS AU CONTRAIRE, 
IL LUI SEMBLE QU'IL REGRESSE.

APPRENDRE UNE PROFESSION

APPRENDRE UNE PROFESSION

RABASH

EN CE QUI CONCERNE LA PERSONNE

QUI APPREND UNE PROFESSION,

IL PROGRESSE UN PEU CHAQUE JOUR,

PARFOIS PLUS, ET PARFOIS MOINS.

ET TOUS CEUX 
QUI QUITTENT L'APPRENTISSAGE,

ILS NE VOIENT PAS,
IL LEUR SEMBLE QU'ILS NE PROGRESSENT PAS,

DONC ILS QUITTENT LA PROFESSION,

MAIS ILS AVANCENT PEUX A PEUX

ET ILS VOIENT

QUE, POUR APPRENDRE CETTE PROFESSION,

LA CONDITON EST 
DE L'ETUDIER PENDENT DE NOMBREUSES ANNEES,

PUISQU'ILS PROGRESSENT 
TRES LENTEMENT,
ILS QITTENT DONC,
CETTE PROFESSION. HA'MIKTSO'AH.

LE DEGREE - LA SOEUR

LE DEGREE - LA SOEUR

DU LIVRE ZOHAR

L'HOMME QUI DESIRE

DESCENDRE DANS UN TROU PROFOND,

CRAINT DE NE POUVOIR REMONTER,

DE LA PROFONDEURE DU TROU.

QUE FAIT-IL?

IL NOUE UNE CORDE

AU DESSUS DU TROU,

IL DIT:

"PUISQUE J'AI CREE CE LIEN,

JE VAIS DESCENDRE LA-BAS, 

DES MAINTENANT".

DESSIN DE MICHAEL LAITMAN

LA CAUSE ET L'EFFET

LA CAUSE ET L'EFFET

RABASH

LE TRAIN DES CHOSES,

LORSQUE L'HOMME AGIT, 

IL EST CERTAIN QUE DE SES ACTIONS

RESULTERA UN EFFET.

PAR EXEMPLE, 

LORSQUE L'HOMME VA TRAVAILLER DANS UNE USINE

ALORS IL VEUT, PAR SES ACTIONS,

UN RESULTAT DE SALAIRE

QUI LUI PERMETTE DE VIVRE,

CELA VEUT DIRE,

LE PERE* EST LE TRAVAILLE,

ET CE QUI EST NE DE LUI, LE FILS, C'EST LE SALAIRE,

ET LORSQUE L'HOMME ETUDE UNE SAGESSE,

IL VEUT ARRIVER PAR CELA

AU TITRE D'UN SAGE, ET AINSI DE SUITE,

CAR L'HOMME VEUT TOUJOURS 
VOIR NAITRE DES RESULTATS

DE SES ACTIONS.

*PERE ET FILS, LES PERES ET LES DESCENDENTS, REPRESENTENT LA CAUSE ET L'EFFET: RABASH, LES RANGS DE L'ESCALIER

DES TACHES SUR LE MANTEAU

DES TACHES SUR LE MANTEAU

RABASH

UN HOMME

DEMANDE A NETTOYER

LES TACHES DE SON MANTEAU.

IL DIT AU PROPRIETAIRE DE LA BLANCHISSERIE:

"JE COMPTE LE NOMBRE DE REPARATIONS

QUE TU DOIS ACCOMPLIR,

POUR QUE JE SACHE

COMBIEN JE DOIS TE PAYER".

ET IL DEMANDE AU PROPRIETAIRE

QU'IL REPARE ET ENLEVE

TOUS LES TACHES.

IL NE FAUT PAS DONC DESESPERER

QUAND L'HOMME CONSTATE

QU'IL Y A BEAUCOUP DE TACHES, MANQUES,

CAR IL  NE COMPTES PAS 
POUR SAVOIR LEUR NOMBRE

SUR SON MANTEAU,

MAIS EN REVANCHE,

IL COMPTE, POUR EVALOUER

LE NOMBRE DE TIKKOUNIM, 
LES REPARATIONS, QU'IL DOIT FAIRE.

UN LIEU DE TRAVAIL LE LIEU DU TRAVAIL

UN LIEU POUR LE TRAVAIL 

RABASH

DANS LA VIE MATERIELLE

L'ON VOIT  PARFOIS

UN HOMME DONT LE FILS TRAVAILLE

ET RECOIT UN SALAIRE

QUI NE LUI SUFFIT PAS POUR SON ENTRETIEN.

 

 CELIBATAIRE  ENCORE

LORSQU'IL COMMENCA CE TRAVAIL,

EN CE TEMPS LA

CE SALAIRE LUI ETAIT CONVENABLE,

MAIS AUJOURD'HUI C'EST INSUFFISSANT,

ET LE PERE EXPLIQUE A SON FILS:

 ''TU VOIE, TON PATRON NE T'AUGMENT PAS LE SALAIRE,

DONC CHERCHE UN AUTRE LIEU DE TRAVAIL,

PLUS CONVENABLE,

OU TU GAGNERA DE PLUS''.

LE FILS REPOND:

J'AI L'HABITUDE

AVEC LE PATRON ET LES OUVRIERS,

JE NE PEUT PAS QUITTER

CET ENDROIT.

QU'A FAIT LE PERE ?

IL EST ALLE CHEZ LE PATRON

ET IL LUI EXPLIQUA LA SITUATION

DE SON FILS.

LE PATRON A DIT 

QU'IL NE PEUT PAS LUI DONNER DE PLUS,

MAIS IL PEUT L'ENVOYER

A UN ENDROIT

ET LA BAS ON VA LE PAYER MIEUX.

ALOR LE PERE LUI DEMANDA

DE RENVOYER SON FILS, 

QUI SERA CONSTRAINT

D'ALLER AILLEURS,

ET IL AJOUTA:

JE VAIS TE DIRE LA VERITE,

MON FILS DIT QU'IL T'AIME

ET QU'IL AIME TRAVAILLER CHEZ TOI

ET AVEC TES OUVRIERS

ET POUR CELA IL VEUT PAS

QUITTER CET ENDROIT.

 

DONC SI TU LE RENVOIES,

IL SERA OBLIGE DE CHERCHER AILLEURS.

ET EN PLUS JE TE SUPPLIE,

DE NE LUI RACCONTER JAMAIS

QUE JE SUIS VENU TE PARLER,

AUTREMENT QUE DIRA-T- IL,

QUE J'AI UN COEUR CRUEL ENVERS LUI?

MON FILS NE PEUT PAS COMPRENDRE

QUE J'AI AGIT POUR SON BIEN.

SUREMENT IL SERA FACHE A MON PROPOS

ET NE DIRA PAS BRAVO,

QUE D'EU BENISSE MON PERE, 

CAR IL FAIT TOUT POUR MON BIEN!.

PRINCIPAL ET SECONDAIRE

PRINCIPAL ET SECONDAIRE

RABASH

A

NOUS MANGEONS

POUR AVOIR
DE LA FORCE POUR TRAVAILLER,

ET NOUS TRAVAILLONS

POUR QUE NOUS AYONS
A MANGER.

NOUS MANGEONS

POUR AVOIR
DE LA FORCE POUR TRAVAILLER,

C'EST UN ETERNEL RETOUR.

B

ET SI ON DEMANDE A L'HOMME:

"AUX QUELLE DES DEUX ACTIONS

VEUX-TU RENONCER?"

CELA SIGNIFIE

QUE L'ON TE PERMET

L'UNE DES DEUX

ET QU'ELLES NE DEPENDENT L'UNE DE L'AUTRE.

BIEN ENTENDU,

IL REPONDRA

QU'IL RENONCE AU TRAVAIL

ET NON A LA NOURRITURE.

CAR DANS LA NOURRITURE

IL TROUVE BEAUCOUP DE PLAISIR

CE QUI N'EST PAS AINSI

EN CE QUI CONCERNE LE TRAVAIL,

QU'IL N'AIME PAS.

DONC S'IL LUI EST PERMIS

DE RENONCER A UNE ACTION,

IL VOUDRA RENONCER AU TRAVAIL

ET CHOISIRA LA NOURRITURE. 

DESSIN DE MICHAEL LAITMAN

C

ET PARFOIS,
IL Y A DES PERSONNES

QUI N'ONT PAS DE PLAISIR A MANGER,

ET ILS MANGENT PAR OBLIGATION

POUR CONTINUER
A VIVRE ET A TRAVAILLER,

ET PORQUOI
DOIVENT-ILS TRAVAILLER?

C'EST PARCE QU'ILS RESSENTENT
UNE SATISFACTION DANS LE TRAVAIL,

CAR ILS CONSTATENT
QU'ILS Y REALISENT QUELQUE CHOSE.

EN REVANCHE,
ILS NE TROUVENT AUCUN CHARME

DANS LA NOURRITURE,

A CAUSE, SOIT D'UNE MALADIE,

OU DE LA VIEILLESSE.

D

EN PLUS, IL Y A CEUX QUI MANGENT

POUR AVOIR LA FORCE DE TRAVAILLER, APRES,

ET ILS TRAVAILLENT

POUR POUVOIR MANGER.

LE REMEDE POUR LE FILS DU ROI

LE REMEDE POUR LE FILS DU ROI 

DU LIVRE ZOHAR

UN ROI

AVAIT UN FILS UNIQUE,

QUI DEVINT MALADE,

 ET UN JOUR

IL EUT ENVIE 

DE MANGER,

ILS ONT DIT:

«LE FILS  DU ROI

DOIT MANGER CE REMEDE,  

ET AVANT QU'IL NE LE MANGE PAS,

IL NE TROUVERA

AUCUNE AUTRE NOURRITURE

DANS LA MAISON».

ILS ONT FAIT AINSI.

PUISQU'IL A MANGE CE REMEDE,

IL DIT:

« A PARTIR DE MAINTENANT

IL PEUT MANGER TOUT CE QU'IL DESIR

ET RIEN DE MAL NE PEUT LUI ARRIVER».

UNE FORTE FIEVRE

UNE FORTE FIEVRE

RABASH

UN HOMME VA CHEZ LE MEDECIN

ET LUI DIT

QU'IL A DE LA FIEVRE,  

ET LUI DEMANDE UN CACHE

POUR LA BAISSER.

ET LE MEDECIN DEMANDE:

« COMBIEN DE FIEVRE AS-TU?»

ET LUI REPOND QU'IL A 38 DE FIEVRE.

LE MEDECIN LUI DONNE UN CACHET

ET CE CACHE NE L'AIDE PAS,

DONC LE DOCTEUR LUI DIT

QU'IL A SUREMENT PLUS DE FIEVRE.

ET IL PRIT LUI-MEME

LA FIEVRE,

ET C'ETAIT PLUS QUE 40 DEGREES.

ALORS LE DOCTEUR

DONNE AU MALADE

UN REMEDE

QUI CONVIENT

AU MALADES QUI ONT

40 DEGREES DE FIEVRE.